« La sculpture chez Lyd Violleau demeure comme en suspens. Certes il y a un socle sur lequel
s’appuie le métal travaillé par l’artiste, mais l’œuvre elle-même s’élève, s’allège, s’enlève. Comme
si Lyd sculptait quelque âme volatile au delà du matériaux bien solide. Elle fait corps avec ce qui
ostensiblement se décorpore. »
- Daniel LEUWERS -